#Le printemps de Septembre
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French Enbarr !
They will even organise some historical reconstitution next month, Enbarrites vs Barbarians in the arena!
(without big kitties to eat barbarians though)
#real life#ça va faire 3 fois que je me déplace à nîmes en moins de 30 jours pour le boulot#évidemment ça ne tombera pas pendant les fêtes romaines#mais bon#dans certaines villes on gueule Jeanne au secours#et ici il y a des artistes qui vont faire des reconstitutions et qui venderont des bibelots#Rome en septembre dernier Nîmes ce printemps et peut-être pompei en juin je fais mon tour de Romanité pour 5 ans lol
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Jardin des Modes septembre 1958
Jacques Heim Haute Couture Collection Fall/Winter 1958-59. The dress was named "Biche", and it is Ina Balke who wears it. It is made of beige bouclé wool by Dumas Maury. Charming details include the thin, high-set belt, the gathers at the waist and the matching little fur-trimmed hat by Svend-Heim.
Jacques Heim Collection Haute Couture Automne/Hiver 1958-59. La robe a été baptisée "Biche", et c'est Ina Balke qui la porte. Elle est en lainage bouclé beige de Dumas Maury. Détails charmants, la mince ceinture incrustée, placée haut, les fronces de la taille et le petit chapeau assorti garni de fourrure, par Svend-Heim.
Photo Frank Horvat. (aux magasins du Printemps Haussmann)
#jardin des modes#septembre 1958#fashion 50s#fall/winter#automne/hiver#haute couture#jacques heim#frank horvat#ina balke#dumas maury fabric#biche#printemps haussmann#svend-heim
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Je souhaite à tous un miracle pour janvier !
Dès la première seconde et pour toute l'année !
Et pour février - le confort de la maison,
Le bonheur au lit. Et un décollage spirituel.
Venant d'une page de Mars propre
A la veille d’un printemps grisant.
Avril - le farceur peindra des visages,
Un sourire de bonheur ! Contes de fées et rêves.
Aux abricots, jasmin, fleurs de cerisier
Sur les ailes du vent, il apportera Mai à tout le monde !
La chaleur du mois de Juin vous attirera plus près de la mer...
Détendez votre corps et votre esprit cet été !
Compote de cerises, tarte aux framboises,
La chaleur est de plus quarante �� c’est tout le mois de Juillet.
Je souhaite à tous la climatisation dans leurs appartements.
Laissez Août apporter le tulle dans la cuisine.
Des arômes magiques de pommes mûres !
Septembre décorera la table avec des légumes,
Et pour qu'Octobre soit velouté et lumineux,
Que le soleil illumine chaque maison !
Et que Novembre ne pleuve pas,
Après tout, l’automne est un petit résultat.
Décembre brillera d'une neige merveilleuse,
Pour fêter la nouvelle année comme dans un conte de fées !
Printemps thaïlandais
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Printemps 1929, Hylewood, Canada (3/5)
Papa est malade, et ce n’est pas bon du tout, je suis très inquiet. Depuis le début du mois de février, Papa a perdu du poids. Il est très fatigué et il a développé une toux persistante. Je l’ai amené de force consulter un médecin à Kingston car sa toux ne s’arrangeait pas, et son état général ne faisait que s’aggraver. Je vais te dire tout ce que le médecin a fait, car peut-être que ça dira quelque chose à tes tantes qui pourront juger de si les techniques sont bonnes, ou peut-être juger du diagnostique… Il a effectué des râles pulmonaires et une radiographie du thorax, puis il a réalisé un examen au microscope des expectorations qu’il recrache quand il tousse. D’après lui, c’est la tuberculose. Il m’a expliqué qu’il existe plusieurs stade de la maladie. Seul le dernier est mortel. Pour l’instant, Papa n’est pas en danger immédiat, et le stade actuel de sa maladie peut durer plusieurs mois voire plusieurs années. Il parait qu’il y aurait un gars à Québec qui aurait survécu plusieurs décennies avec la tuberculose, et qu’au final on ne sait même pas si c’est la tuberculose qui l’a tué, ou si c’est son grand âge. Papa sera peut-être de ceux-là…
Tu comprends donc pourquoi je suis atterré de le voir s’ostiner avec Marie, et l’oncle Joseph, et Constantin, et Adelphe, et tout le monde. Papa agit comme s’il s’en fichait, il prétend qu’il se moque bien de ce que les gens pensent et de se retrouver seul, mais je sais que c’est faux. Je lui ai demandé pourquoi il n’écrivait plus à Adelphe. Je n’ai pas pu en obtenir grand chose, mais avant qu’il m’envoie chez l’yâble, j’ai pu en tirer suffisamment pour déduire que cela viendrait d’une vieille rixe avec Constantin et qu’il est persuadé qu’Adelphe s’est rangé dans son camp. J’ignore sur quoi la querelle portait, j’ignore qui avait tort (et vu son caractère de cochon, je suis prêt à reconnaitre les torts de mon père sans problème). Il est trop fier pour s’excuser ou faire le premier pas. J’espère que ton père et ton oncle sont moins idiots que lui…
[Transcription] Irène Bernard : « Date de naissance du demandeur » ? Lucien LeBris : 7 septembre 1905. Je ne comprends rien à ces formulaires. « Superficie de la surface cadastrale »… Est-ce qu’il faut compter ce qui est dans l’eau ?
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Jules Le Bris#Irène Bernard#Marie Le Bris III#Joseph Bernard
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"La Verrière, Paysage de Printemps" des maîtres verriers Ray et Chanson sur le dessin de l'Atelier Gaucher et Bourgeois (1927) au Printemps Haussmann, Paris, septembre 2024.
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I'm bored so here you have another multilingual post. Sorry for adding colors but my mind has started going nuts at a certain point... ENG - ITA - FRA - ESP - KOR
Days - (i) Giorni - (les) Jours - (los) Días - 날(들): Monday - (il) Lunedì - (le) Lundi - (el) Lunes - 월요일 Tuesday - (il) Martedì - (le) Mardi - (el) Martes - 화요일 Wednesday - (il) Mercoledì - (le) Mercredi - (el) Miércoles - 수요일 Thursday - (il) Giovedì - (le) Jeudi - (el) Jueves - 목요일 Friday - (il) Venerdì - (le) Vendredi - (el) Viernes - 금요일 Saturday - (il) Sabato - (le) Samedi - (el) Sabado - 토요일 Sunday - (la) Domenica - (le) Dimanche - (el) Domingo - 일요일
[Week - (la) Settimana - (la) Semaine - (la) Semana - 일주일] [Weekend - (il) Fine settimana - (la) Fin de semaine - (el) Fin de semana - 주말]
Months - (i) Mesi - (les) Mois - (los) Meses - 달(들): January - Gennaio - Janvier - Enero - 1월/일월 February - Febbraio - Février - Febrero - 2월/이월 March - Marzo - Mars - Marzo - 3월/삼월 April - Aprile - Avril - Abril - 4월/사월 May - Maggio - Mai - Mayo - 5월/오월 June - Giugno - Juin - Junio - 6월/유월 July - Luglio - Juillet - Julio - 7월/칠월 August - Agosto - Août - Agosto - 8월/팔월 September - Settembre - Septembre - Septiembre - 9월/구월 October - Ottobre - Octobre - Octubre - 10월/시월 November - Novembre - Novembre - Noviembre - 11월/십일월 December - Dicembre - Décembre - Diciembre - 12월/십이월
[Year - (l')Anno - (l')Année - (el) Año - 년]
Seasons - (le) Stagioni - (les) Saisons - (las) Estaciones - 계절 : Spring - (la) Primavera - (le) Printemps - (la) Primavera - 봄 Summer - (l')Estate - (l')Été - (el) Verano - 여름 Autumn - (l')Autunno - (l')Automne - (el) Otoño - 가을 Winter - (l')Inverno - (l')Hiver - (el) Invierno - 겨울
#korean#polyglot#languages#italian#english#french#spanish#learning languages#learning korean#i really thought about adding russian this time but my mind went NO PLS
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après des jours de grande chaleur, un peu d’ombre au jardin ; le merle a ressorti sa panoplie de printemps
© Pierre Cressant
(lundi 11 septembre 2023)
#poésie en prose#poésie#poètes sur tumblr#poème#poème en prose#prose poétique#poètes français#french poetry#poésie contemporaine#poètes français#merle#vie des oiseaux#chaleur#printemps
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🎧
this is the most devastating song ever written. and obviously one of my favourites. love the entirety of the lyrics but more particularly “l’amour nous reviendra peut-être / peut-être un soir, au détour d’un printemps / quel joli temps, le temps de se revoir”
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✊ 15.000 PERSONNES À LYON CONTRE LE COUP D’ÉTAT DE MACRON ✊
Samedi 7 septembre, la France s’est levée alors que Macron a imposé un premier ministre de la droite radicale et gouverne désormais avec le RN, foulant aux pieds le verdict des urnes. À Lyon, 15.000 personnes ont envahi les rues, 300.000 à travers tout le pays.
En quelques jours seulement, sans l'appui des syndicats, une marée humaine s’est rassemblée. Pourtant, le pouvoir, habitué à des printemps de grèves, de blocages, de manifestations bien plus imposantes, n’a pas tremblé.
Nous sommes 300.000. Il y a de quoi retourner le pays, l’enflammer de joie et de révolte. Des blocages festifs aux actions déterminées, ne restons pas enfermés dans leurs scénarios. Faisons du bruit, occupons les places, les rues, les esprits pour que cette mobilisation ne soit plus ignorée. Montrons que l’on peut être festifs et inarrêtables, joyeux et déterminés.
Faisons trembler ce pouvoir par la créativité et la force du nombre.
🎥 Blüme
✊ 15,000 PEOPLE IN LYON AGAINST MACRON'S COUP D'ETAT ✊
On Saturday, September 7, France rose up as Macron imposed a prime minister from the radical right and now governs with the RN, trampling on the verdict of the ballot boxes. In Lyon, 15,000 people took to the streets, 300,000 across the country.
In just a few days, without the support of the unions, a human tide gathered. However, the government, accustomed to springs of strikes, blockades, and much larger demonstrations, did not tremble.
There are 300,000 of us. There is enough to turn the country upside down, to set it ablaze with joy and revolt. From festive blockades to determined actions, let's not remain locked into their scenarios. Let's make noise, occupy the squares, the streets, the minds so that this mobilization is no longer ignored. Let's show that we can be festive and unstoppable, joyful and determined.
Let us shake this power through creativity and strength in numbers.
🎥 Flowers
#lyon#paris#france#videos#video#emmanuel macron#president macron#macron#anti capitalism#antifascist#antiauthoritarian#antinazi#class war#eat the rich#eat the fucking rich#ausgov#politas#auspol#tasgov#taspol#australia#fuck neoliberals#neoliberal capitalism#anthony albanese#albanese government#environmental activism#activism#activist
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LÉGENDES DU JAZZ
BUD POWELL, LA DESCENTE AUX ENFERS D’UN GÉNIE DU JAZZ ‘’I think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If you’re thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.”
- Sonny Rollins
Né le 27 septembre 1924 à Harlem, Earl Rudolph ‘’Bud’’ Powell était le fils de William Powell Sr., un pianiste de stride, trompettiste et joueur de trombone, et de Pearl Young, une violoniste. Powell avait deux frères, William (né le 15 mars 1923) et Richard Bertram (né le 5 septembre 1931).
Powell était issu d’une famille musicale. e frère aîné de Powell, William, jouait de la trompette et du violon. Le plus jeune frère de Powell, Richie, était aussi un pianiste de bop réputé.
Powell, qui avait seulement cinq ans au moment de la mort de son père, avait été élevé par sa mère avec ses frères.
À l’âge de cinq ans, Bud avait commencé à apprendre le piano d’un professeur indien appelé Rawlins. Deux ans plus tard, il avait été initié à la musique classique en jouant à l’église et dans les chorales de son école.
Bud avait fait sa première apparition publique dans un party où il avait imité le pianiste Fats Waller. La première pièce de jazz que Powell avait interprétée était ‘’Carolina Stout’’ de James P. Johnson.
Au printemps 1940, à l’âge de quinze ans, Powell s’était joint au groupe de son frère, les Skeets Powell and Hill Jolly Swingers. C’est probablement à cette époque que Powell s’était lié d’amitié avec un autre pianiste, Allen Tinney. Entre 1940 et 1942, avec Tinney et un autre pianiste, Gerald Wiggins, Powell avait commencé à fréquenter les clubs de Harlem, où il avait lancé des défis à d’autres pianistes.
D’abord influencé par la musique classique, Powell avait commencé à étudier le jazz à l’âge de douze ans. Ses premières influences en jazz avaient été les pianistes Fats Waller, Earl Hines, Jelly Roll Morton, Thelonious Monk et Art Tatum.
Après avoir entendu Art Tatum à la radio, Powell avait tenté d’imiter sa technique.
Après avoir étudié à la Wendell Phillips Academy, où il avait pris des leçons avec le docteur John DeMarco, Powell avait fréquenté le Conservatoire de Musique de Chicago. En 1935, alors qu’il avait treize ans, la mère de Bud lui avait offert un piano. À l’époque, Bud étudiait la musique classique au New York Conservatory of Music.
En 1938, à l’âge de seulement quinze ans, Powell était entré à la Juilliard School of Music, où il avait étudié la composition, l’harmonie, le contrepoint et l’orchestration sous la direction de Lennie Tristano.
Après avoir décroché son diplôme, Powell avait continué d’étudier avec Tristano durant sept ans. CARRIÈRE PROFESSIONNELLE Dans sa jeunesse, Powell avait assisté à des concerts à l’Uptown House, un club situé près de chez de lui, où il allait souvent voir jouer Charlie Parker et Thelonious Monk.
Powell avait amorcé sa carrière professionnelle comme membre de l’orchestre d’Artie Shaw en 1940. C’est là qu’il avait rencontré Charlie Parker qui était rapidement devenu son mentor et l’avait invité à venir jouer avec son groupe. Powell était demeuré trois ans avec Parker avant de se joindre aux Jazz Messengers d’Art Blakey en 1941. Lorsque Monk avait rencontré Powell pour la première fois à l’automne 1942, il avait été tellement impressionné par le jeune pianiste qu’il avait décidé de le présenter à ses musiciens du Minton’s Playhouse. Monk, qui avait vite pris Powell sous son aile, avait d’ailleurs composé une pièce en son honneur intitulée ‘’In Walked Bud.’’ Mais si Monk avait tendance à se servir du piano comme instrument de percussion, Powell se servait plutôt du piano comme un instrument à vent et tentait d’imiter les saxophonistes et les trompettistes qu’il admirait. Son style était une combinaison de musique classique et d’improvisation.
Au printemps 1943, le contrebassiste Jimmy Butts avait proposé la candidature de Powell pour jouer dans le Sunset Royals Orchestra, un groupe de danse dirigé par Doc Wheeler. Powell s’était rapidement lié d’amitié avec un des trompettistes de l’orchestre, George Treadwell.
Entre l’été et l’automne de 1943, Treadwell, qui était conscient que le talent de Powell était sous-exploité, avait décidé de quitter les Sunset Royals pour former son propre groupe avec Powell. Le trompettiste Cootie Williams, qui dirigeait son propre orchestre de danse, avait vu le groupe de Treadwell à l’oeuvre, et avait décidé par la suite d’engager plusieurs de ses musiciens, dont Powell.
À la fin de l’année 1943, on avait proposé à Powell de jouer avec le quintet d’Oscar Pettiford et de Dizzy Gillespie, mais, comme le groupe se produisait dans un club de nuit, la mère de Bud avait décidé qu’il était préférable que son fils continue d’occuper un emploi plus stable dans l’orchestre de Williams.
La décision de la mère de Powell était tout à fait pertinente car l’année suivante, Powell avait participé à quelques sessions d’enregistrement avec Williams. L’une d’entre elles comprenait le premier enregistrement de l’histoire de la pièce ‘’Round Midnight’’ de Monk. Le contrat de Powell avec Williams avait pris fin à Philadelphie en janvier 1945. Après le concert, Powell se trouvait près de Broad Street Station lorsqu’il avait été arrêté dans un état d’intoxication avancé par la police du chemin de fer. Un des policiers l’avait d’ailleurs frappé durement à la tête après qu’il ait résisté à son arrestation. Remis aux constables de la ville, Powell avait été brièvement incarcéré.
Dix jours après sa libération, comme ses maux de tête ne démontraient aucun signe de ralentissement, Powell avait été admis à l’Hôpital Bellevue, avant d’être envoyé à l’hôpital psychiatrique de Pilgrim State situé à une soixantaine de milles plus loin, où il était demeuré durant deux mois et demi. Il est très probable que les coups que Powell avaient reçus à la tête avaient provoqué une commotion cérébrale et avaient été la cause de ses fréquents maux de tête et de ses problèmes de comportement au cours des années suivantes.
Après sa libération en avril 1945, Powell était aller jouer à Manhattan avec le batteur Sid Catlett et le saxophoniste ténor Don Byas. C’est alors qu’il avait été recruté par le contrebassiste John Kirby afin de prendre la place du pianiste Billy Kyle avec son groupe.
En 1945-46, Powell avait enregistré avec Frank Sololow, Sarah Vaughan, Dexter Gordon, J.J. Johnson, Sonny Stitt, Fats Navarro et Kenny Clarke. Le 6 mars 1947, Powell avait dirigé ce qui avait sans doute été son premier concert sous son nom à Harlem.
Powell étant reconnu pour son habileté à lire la musique et à exécuter des pièces au tempo rapide, Charlie Parker l’avait choisi comme pianiste en vue d’une session d’enregistrement qui devait avoir lieu le 8 mai 1947 avec un quintet composé de Miles Davis, Tommy Potter et Max Roach. C’était la seule fois de l’histoire où Powell et Parker participaient à la même session d’enregistrement.
La seule autre session d’enregistrement à laquelle Powell avait participé en 1947 avait eu lieu le 10 janvier dans le cadre d’un enregistrement avec son trio formé de Curly Russell et Max Roach. UNE SANTÉ MENTALE PRÉCAIRE Le 14 novembre 1947, Powell avait eu une altercation avec un client dans un bar de Harlem. Au cours de la bagarre, Powell avait été frappé par une bouteille au-dessus de l’oeil. Lorsque les employés de l’hôpital de Harlem avaient examiné Powell, ils l’avaient trouvé incohérent et turbulent. Ils l’avaient donc fait admettre à l’Hôpital Bellevue, où il avait déjà été soigné précédemment. À leur tour, les employés de l’Hôpital Bellevue n’avaient pas su quoi faire de Powell et l’avaient envoyé au Creedmoor State Hospital, où il avait été gardé durant onze mois.
Powell s’était assez bien adapté à son séjour à l’hôpital, même si lors d’examens psychiatriques il s’était plaint d’avoir été persécuté en raison de sa couleur. De février à avril 1948, Powell avait été soumis à une thérapie par électro-chocs après avoir appris que sa petite amie Mary Frances Barnes était enceinte. La thérapie n’ayant pas produit les résultats souhaités, les médecins de Powell lui avaient administré une seconde série de traitements en mai. Powell avait finalement été libéré en mai 1948. Le 1er juin, l’amie de coeur de Powell, Mary Frances, avait donné naissance à son seul enfant, une fille qui avait été baptisée sous le nom de Cecelia June Powell.
Après avoir été brièvement hospitalisé au début de l’année 1949 après avoir enfreint les conditions de sa libération, Powell avait fait quelques enregistrements durant les deux ou trois années suivantes (notamment avec Sonny Rollins et Fats Navarro), principalement sous étiquette Blue Note, Mercury, Norgran et Clef. Powell avait également enregistré pendant l’été pour le compte de deux producteurs indépendants avec son trio habituel composé de Max Roach et Curly Russell. Les huit ‘’masters’’ qui avaient résulté de ces enregistrements n’avaient été publiés qu’en 1950, après que les disques Roost aient racheté les ‘’masters’’ et les aient publiés sous forme de 78-tours. Le musicologue Guthrie Ramsey avait écrit qu’avec cette session "Powell proves himself the equal of any of the other beboppers in technique, versatility, and feeling."
Le 17 septembre 1949, Powell avait signé le premier contrat de sa carrière avec le producteur Norman Granz. Powell avait fait ses débuts à Carnegie Hall le soir de Noël de 1949 avec son trio. Participaient également au concert le saxophoniste ténor Stan Getz, la chanteuse Sarah Vaughan, le pianiste Lennie Tristano et Charlie Parker.
Parmi les musiciens qui avaient participé à la session d’août 1949 pour Blue Note, on remarquait Fats Navarro, Sonny Rollins, Tommy Potter et Roy Haynes. Au nombre des pièces interprétées par le groupe, on remarquait ‘’Bouncing with Bud’’ et ‘’Dance of the Infidels.’’ La session de 1951 mettait en vedette le trio de Powell avec ses acolytes Curley Russell et Max Roach. Parmi les pièces enregistrées, on relevait ‘’Parisian Thoroughtfare’’ et ’’Un Poco Loco’’ Cette dernière pièce avait été sélectionnée plus tard par le critique littéraire Harold Bloom dans sa liste des plus grandes oeuvres américaines du 20e siècle. Les musiciens Ray Brown, George Duvivier, Percy Heath, Max Roach, Curly Russell, Lloyd Trotman, Art Blakey, Kenny Clarke, Osie Johnson, Buddy Rich et Art Taylor avaient participé aux sessions organisées par Norman Granz.
La rivalité de Powell avec Charlie Parker avait éventuellement semé la zizanie parmi les musiciens. La détérioration de la santé mentale et physique de Powell n’avait d’ailleurs guère contribué à alléger l’atmosphère.
Au cours des années 1950, Powell avait fait d’autres enregistrements pour Blue Note et Norman Granz, mais ceux-ci avaient dû être interrompus par un nouveau séjour en hôpital psychiatrique entre la fin de 1951 et le début de l’année 1953, après que le pianiste ait été arrêté pour possession d’héroïne en compagnie de Monk et de deux autres musiciens. Les quatre compères avaient été enfermés aux Tombs, un célèbre centre de détention. Powell avait d’ailleurs été de nouveau battu dans le cadre de son incarcération. Après avoir plaidé non coupable, Monk avait été condamné à soixante jours de prison. Quant à Powell, il avait été renvoyé à l’hôpital Bellevue, puis à Pilgrim, où il avait été déclaré mentalement inapte. Après une détention d’un mois, le directeur de Pilgrim avait recommandé que Powell soit gardé indéfiniment. Durant onze jours, Powell avait été soumis à une nouvelle thérapie par électro-chocs avant d’être finalement transféré à Creedmoor en août 1952.
Jugé incapable de gérer ses propres finances, Powell avait été placé sous la garde d’Oscar Goodstein, le propriétaire du Birdland, avec qui il avait signé un contrat de vingt semaines. Lorsque Powell ne jouait pas au Birdland, il avait des engagements à Philadelphie, à Washington ou à St. Louis. Jamais Powell n’avait été aussi occupé.
Le 9 mars 1953, Powell avait épousé Audrey Hill, une Californienne. Le mariage avait été arrangé par Goodstein, qui croyait sans doute que le fait d’être marié permettrait de rendre Powell plus stable et prévisible. Le couple ne s’était pas revu depuis que Powell avait été obtenu son congé de l’hôpital. Le mariage avait finalement été annulé en juillet.
En 1953, Powell avait enregistré pour Blue Note dans le cadre d’un trio avec George Duvivier et Art Taylor. La session comprenait l’enregistrement d’une composition de Powell intitulée ‘’Glass Enclosure’’, dont le titre était possiblement inspiré de son quasi-emprisonnement dans l’appartement de Goodstein. Le 15 mai de la même année, Powell avait participé au concert historique de Massey Hall à Toronto avec un quintet formé de Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Charles Mingus et Max Roach. Le concert avait été enregistré par Mingus qui l’avats mis en marché grâce à sa propre maison d’enregistrement, Debut Records, sous le titre de ‘’Jazz at Massey Hall.’’
De nouveau été arrêté le 14 juin 1954, Powell avait été accusé de possession d’héroïne. Le procès avait finalement eu lieu au début de 1955.
Bien que Powell ait obtenu son congé de l’hôpital, la qualité de son jeu avait été affectée par l’ingestion de Largactil, un médicament qu’il prenait pour soigner sa schizophrénie. Le 26 juin 1956, la vie de Powell avait été encore plus assombrie lorsque son frère Richie et le trompettiste Clifford Brown avaient été tués dans un accident automobile. Après avoir passé plusieurs mois à l’hôpital, Powell s’était installé à Paris en 1959 avec sa nouvelle compagne Altevia ‘’Buttercup’’ Edwards et son fils John. Powell avait rencontré Edwards, une femme mariée, après son emprisonnement en 1954. Le couple s’était installé avec l’enfant à l’Hôtel La Louisiane. C’est Altevia qui gérait les finances de Powell et s’assurait qu’il prenne ses médicaments. C’est donc en grande partie grâce à elle que Powell avait pu continuer de jouer et d’enregistrer.
En juin 1960, Powell avait été l’invité de Charles Mingus au Festival de jazz de Juan-les-Pins. En avril 1961, Powell avait participé à une brève tournée en Europe avec Thelonious Monk, notamment à Marseille, Milan, Bologne et Rome. Powell, qui n’avait pas encore enregistré pour une compagnie de disques européenne, avait collaboré avec le saxophoniste Cannonball Adderley pour une série de deux albums en décembre 1961. En février 1962, Powell avait décroché un contrat au Café Montmartre de Paris, qui venait de réouvrir ses portes. Prévu initialement pour deux semaines, le contrat de Powell avait été prolongé de cinq semaines supplémentaires à la demande du pianiste.
En avril 1962, Powell, qui était de retour à Copenhague, avait reçu une offre d’une compagnie danoise qui lui avait fait enregistrer des classiques qu’il avait rarement joué en studio, notamment ‘’Straight No Chaser’’de Monk et ‘’Hot House’’, une pièce traditionnellement associée à Charlie Parker.
En décembre 1962, Powell, qui avait trop bu, avait été retrouvé complètement saoul dans les rues de Paris et avait été admis dans un hôpital local. Powell avait finalement été transféré dans l’aile psychiatrique de l’hôpital, avant d’être libéré grâce à l’intervention de son ami Francis Paudras.
En quatre mois, de février à juin 1963, Powell avait participé à plus de sessions d’enregistrements qu’il n’en avait fait en quatre ans. Powell avait fait des apparitions comme artiste invité dans deux de ces sessions. La première était dirigée par Dexter Gordon et la seconde par Dizzy Gillespie. DERNIÈRES ANNÉES En 1963, après avoir contracté la tuberculose, Powell avait été admis à l’hôpital de Paris. Powell ayant obtenu un contrat pour jouer au Birdland, il était de retour à New York le 16 août 1964. Neuf jours plus tard, il avait partagé la scène avec Horace Silver, John Coltrane, Charles Mingus et Thelonious Monk.
À l’époque, la qualité du jeu de Powell avait nettement décliné en raison de son alcoolisme. Lorsque Powell avait négligé de ses présenter le 11 octobre à un de ses concerts au Birdland, Goodstein avait décidé de le congédier.
Après des mois de découragement et de comportement erratique, Bud Powell avait été hospitalisé à New York à la suite de complications pulmonaires. Powell avait présenté son dernier concert le 1er mai 1965. Il avait été admis dans un hôpital psychiatrique à l’automne suivant.
Bud Powell est décédé le 31 mars 1966. Sa mort avait été attribuée aux effets conjugués de la tuberculose, de la malnutrition et de l’alcoolisme.
Plusieurs musiciens de jazz avaient rendu hommage à Powell. Dans son autobiographie, le trompettiste Miles Davis, qui avait un jour dit de Powell qu’il ne l’engagerait jamais dans son groupe parce qu’il était encore plus cinglé que lui, avait déclaré: "[He] was one of the few musicians I knew who could play, write, and read all kinds of music. Bud was a genius piano player – the best there was of all the bebop piano players." Le pianiste Bill Evans, qui avait toujours considéré Powell comme sa principale influence, lui avait rendu hommage en 1979 en déclarant: "If I had to choose one single musician for his artistic integrity, for the incomparable originality of his creation and the grandeur of his work, it would be Bud Powell. He was in a class by himself". De son côté, Herbie Hancock avait affirmé dans une entrevue au magazine DownBeat en 1966: "He was the foundation out of which stemmed the whole edifice of modern jazz piano". Le saxophoniste ténor Sonny Rollins avait également eu de bons mots pour Powell et avait commenté: ‘’I think he was a genius. When I was coming up, our prophet was Charlie Parker, Charlie Parker was the guy. But Bud Powell, his improvisations were definitely on a par with Charlie Parker. If you’re thinking of the bebop style, Bud Powell was supreme. In fact, some people put him above Charlie Parker.” Quant au pianiste Bill Cunliffe, il considérait Powell comme "the first pianist to take Charlie Parker's language and adapt it successfully to the piano."
En 1986, l’artiste Francis Paudras avait écrit un livre à propos de son amitié avec Powell. L’ouvrage a été traduit en 1997 sous le titre de ‘’Dance of the Infidels: A Portrait of Bud Powell.’’ Les souvenirs de Paudras avaient servi de base au film de Bertrand Tavernier, ‘’Round Midnight’’, qui était inspiré de la carrière de Powell et de Lester Young, et dans lequel le saxophoniste Dexter Gordon jouait le rôle d’un musicien en exil à Paris.
Bud Powell a influencé plusieurs jeunes pianistes au cours de sa carrière, plus particulièrement Horace Silver, Wynton Kelly, Andre Previn, McCoy Tyner, Cedar Walton et Chick Corea. Ce dernier avait d’ailleurs enregistré en 1997 un album entier consacré à Powell intitulé ‘’Remembering Bud Powell.’’ Grand innovateur, Powell avait été le premier pianiste à jouer des parties qui étaient initialement conçues pour des cuivres. Powell avait été mis en nomination à sept reprises pour un prix Grammy dans la catégorie de la meilleure performance instrumentale en solo. c-2023-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique.
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Link Click saison 3
Bonjour à tous et toutes, je fais un petit saut pour annoncer que nous devons dire au revoir à Link Click....
Du moins, pour le temps de la saison 2, eh. oui, car le site officiel à annoncé peu de temps après la diffusion du dernier épisode de la saison 2 que une saison trois arriverait.
A ce jour, le 23 septembre, nous ne savons pas encore la date, mais au vu de l'attente entre la saison 1 et saison 2, qui avait duré 2 ans, il faudra sans doute attendre printemps-automne 2025.
A moins qu'il n'aies déjà commencé la production antérieurement et comme le cov-19 n'est plus d'actualité, il soit plus facile de produire des animés, nous n'ayons la surprise d'un retour de Link Click l'année prochaine. A voir.
#link click#lu guang#cheng xiaoshi#shi guang dai li ren#anime and manga#anime#qiao ling#link click mini#click#link#saison2#saison#saison 3#season
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Chère Amie,
Je t'écris en ayant l'impression que ça fait plusieurs éternités que je ne l'ai plus fait. Je suis encore là, je suis encore à Rennes pourtant mes derniers mois se rapprochent beaucoup des pires que j'ai pu vivre. Je suis encore à Rennes et dans ce printemps qui semble enfin décidé à nous envelopper tendrement, j'aime à penser que c'est un peu de ton soleil d'Italie qui réchauffe ma peau, qui caresse mon coeur. Je suis conscient de ne plus avoir grand chose à dire, plus grand chose à apporter, ici comme dans la vie, ces 5 années à travailler m'ont asphyxiées jusqu'à sucer jusqu'aux dernières gouttes de ma sève d'antan. C'est le coeur flétri et l'âme en lambeaux que je t'adresse ces mots. Je me rappelle parfois ces printemps précédents, ces jours plus tranquilles bien que tristement immobiles et je crève de ce que le temps m'inflige, de ce que la vie a fait de mes nombreuses failures. Sur la platine, Gazzelle est en train de chanter "È stata la primavera più brutta di sempre" et rien ne m'a jamais semblé plus vrai que ces quelques mots en italiens, comme lorsque réécouter Bon Iver me renvoie instantanément au printemps 2012. C'est cette douceur amère, celle qui lacère la chair mais qui garde le coeur vivant, puisqu'il faut qu'il batte et qu'il batte encore, pour ressentir cette douleur de vivre, cette morsure qui me tient à la vie au bord du précipice. Tu sais, cette année ça fera déjà 15 ans, mon départ pour Londres le 8 Juillet 2009 et ce qui en a découlé. Ça fera aussi 10 ans que j'ai arpenté pour la toute première fois les rues ensoleillées de Turin au coeur de l'été 2014, sous une chaleur accablante, c'était le 12 Août, et puis 10 ans aussi, le 30 septembre cette fois, le concert de reformation des Libertines avec mon frère et ma soeur. Toutes ces dates, tu sais comment je suis avec les dates, même si j'ai énormément progressé avec ça ces dernières années avec mon ancienne psychologue, toutes ces dates font qu'il est vital pour moi que Turin se réalise cette année, le plus tôt possible, il en va de ma survie je crois, de ma santé mentale aussi, du moins ce qu'il en reste.
J'ai bien conscience que ce ne sont que de simples mots jetés à la va-vite dans l'immensité froide d'internet mais je voulais tout de même essayer de t'expliquer, pourquoi tout est si dur pour moi en ce moment, pourquoi je suis de plus en plus fatigué de continuer à me battre. Si il n'y a pas Turin, je ne sais pas, je ne sais pa ce que je ferais, il n'y a pas de plan B, il n'y en a jamais eu.
Tendrement.
Mathieu.
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Samedi 10 mars 2012.Le Havre. Réédition du journal.
Jean-François me conseille, pour me rendre du centre-ville du Havre à la bibliothèque universitaire où nous accrochons l’exposition « Vents d’Est », d’emprunter le boulevard de Strasbourg, après avoir fait des zig zags autour de la mairie, pour voir de très belles maisons bourgeoises épargnées par les bombardements qui ont littéralement rasé la ville. Le 5 septembre 1944, deux heures de raid intensif par l’aviation anglaise sur le centre-ville et le port pour affaiblir l’occupant allemand, 800 bombardiers lourds, 80 000 tonnes de bombes déversées, 5123 morts et 10 000 immeubles détruits feront du Havre la ville la plus détruite de France.
Le général De Gaulle fait une visite au Havre le 7 octobre 1944. La ville du Havre reçoit la Légion d'honneur le 18 juillet 1949 pour « l'héroïsme avec lequel elle a supporté ses destructions ».
Au printemps 1945, le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme confie le projet de reconstruction du centre-ville du Havre à l'atelier Perret. Il souhaite faire table rase des anciennes structures et appliquer les théories du classicisme structurel. Le matériau retenu pour l'édification des bâtiments est le béton et le plan général est une trame orthogonale. Officiellement, la reconstruction s'achève au milieu des années 1960.
Le long du boulevard de Strasbourg s’étale le chantier du tramway. Les rails sont déjà posés, mais le boulevard est toujours fermé à la circulation. Le tramway doit être mis en service vers le mois d’octobre.
Sur une barrière du chantier, une photo d’identité d’une petite fille est accrochée avec un trombone. Il ne doit pas s’agir d’une disparition, car aucun mot n’est accroché. La photo, tombée d’un cartable ou d’un portefeuille, sans doute, est en très bon état. La personne qui l’a accrochée à cet endroit espérait sans doute que la petite fille photographiée, ou ses parents la verrait.
Une photo d’identité, en soi, ce n’est pas grand-chose d’important. Mais c’est le geste de la sauvegarder de cette manière qui me plaît et m’interpelle.
Je continue sur le boulevard car la journée va être dure. Il va falloir accrocher à la bibliothèque. Et finir pour ce soir le gros du travail, qui comprend entre autres 5 photos de 1,70 m de large qui seront suspendues dans le vide.
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Au bord du lac…🍁🍂🍁
Vous avez quitté le lac en septembre, c’était bien trop tôt, il fait encore beau.
Ce fameux été des indiens semble vouloir s’installer pour un bout.
La lumière illumine la forêt et parsème le lac de diamants.
Les huards ne semblent pas pressés de partir trompés par la chaleur.
Bien calée dans mon fauteuil sur la véranda,
mon café à la main, j’admire ce paysage extraordinaire baigné d’or et de rouge.
Le bruit des bateaux à moteur s’est tu ne laissant que le clapotis apaisant du lac.
Le silence n’est troublé que par le son des feuilles qui craquent sous nos pas.
Il fait si bon encore, l’air embaume de l’odeur de la terre humide.
Les arbres se déshabillent lentement comme une effeuilleuse qui fait durer le plaisir.
Chaque jour je remplis mes yeux de la beauté
que cet automne déploie avant que ne vienne
la grande dame blanche au souffle glacial
qui endormira cette nature la couvrant
d’un épais manteau blanc jusqu’au prochain printemps.
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FRANCK HORVAT - Paris, le monde, la mode.
Au Jeu de Paume jusqu’au 17 septembre 2023
Entre 1950 et 1965, Horvat affirme une personnalité hors norme d’auteur-reporter et de photographe de mode. L’exposition apporte une vision renouvelée sur l’œuvre de cet acteur majeur de la photographie française et européenne.
Réalisée à partir des archives laissées par le photographe dans sa maison-atelier de Boulogne-Billancourt, l’exposition comporte 170 tirages et 70 documents d’époque (publications, écrits, ouvrages, planches contacts). Elle présente, aux côtés d’images emblématiques, des ensembles de photographies moins connues ou complètement inédites. C’est toute la richesse et la singularité d’une œuvre complexe et multiforme qui est ici dévoilée, replacée dans le contexte de l’histoire de l’image photographique et de la presse illustrée d’après-guerre.
Après le succès de l’exposition Frank Horvat présentée au Château de Tours au printemps 2022, le Jeu de Paume a souhaité proposer à Paris une version enrichie de l’exposition. Sont ainsi présentés un ensemble inédit de photographies ainsi que de nombreuses revues de mode, apportant un éclairage particulier sur le contexte de création de ces images, à une époque où l’essor du prêt-à-porter et l’évolution du statut des femmes dans la société modifient profondément les canons du genre.
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Londres, Paris, Amsterdam
Il y a eu des choses de vraiment positive dans ma vie en cette année 2024. Ce sont les deux beaux voyages à Londres et Amsterdam. Et j'ai eu la chance de profiter de Paris à plusieurs reprises. C'est la première fois de ma vie que je voyage autant en une seule année. Et je n'oublie pas mon road-trip au mois de septembre ! Cette semaine en van avec mon ami. J'ai vraiment vécu de bons moments de liberté pendant ces nombreux voyages. Inoubliable !
Londres est l'endroit que j'ai le plus aimé. Cette ville me fascine depuis mon adolescence. J'ai toujours rêvé de venir étudier et vivre en Angleterre. Mais en y venant au printemps 2024, je me suis rendu compte que c'est une ville où la vie est très cher ! Mais je rêve d'y revenir plus souvent. En 2025 ? Concernant Amsterdam, j'adore également cette ville. La monnaie est l'euro ! C'est plus facile. Quoi qu'il en soit, je veux revoir cette ville ❤️
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